Chambre de Kabu

Kabu :

Je suis arriver avec le gamin puis je lui montra le lit.

" Assis toi ! Et bouge pas ! "

Je suis aller a la salle de bain.

Aurore :

Je m'assied donc,attendant qu'il arrive timide...

Kabu :

J'ai prit de quoi le soigner puis je suis revenue et j'ai commencer a le soigner.

( Je vais me coucher ma chérie , repose toi bien je t'aime. )

Aurore:

Aussi timide que peureux,le petit homme se mit à craindre que son futur homme ne le vise qu'à la moindre remarque idiote et blessante.

Il attendit donc,et sentit une main brusque sur sa tête ,la douleur mentant à cran...

"Aiee..."

Chuchota t-il ...

Kabu :

Je continuais de le soigner puis je lui mis en bandage autour de la tête avant de le coucher sur le lit.

" Dort ! Et je veut pas t'entendre ! Tu obéis point ! "

Aurore :

Je sentais la douceur de l'oreiller ,contre ma tête en sang...

Puis,je me lève,et d'une petite voix,je lui demande:

"Et vous...?"

Je ne voulais pas salit son lit...

C'est alors que je me met au sol,et prend juste une petite couverture.

"Non,dormez ,vous d'abord...je salirai votre beau lit,j'imagine...je ne sais pas a quoi il ressemble,mais je ne voudrai pas vous l’abîmer ..."

Et,gentiment ,je me mis à dormir sur le sol glacé ,en tremblant de peur qu'il me fasse du mal...

Kabu :

Alors que je m'apprêter a lire mon livre je l'ai vue s'installer au sol et s'y endormir.

" Mais c'est pas vrai !! Il m'énerve a me désobéir ce gamin ! "

Je me suis lever puis je me suis diriger vers lui avant de le porter et de le mettre dans mon lit et de le couvrir avec ma couverture.

" Qui se soucis du lit sérieux ! "

Aurore :

"Vous sentez bon..."

Quand il me porta ,je ne pus m'empêcher de fourrer délicatement mon nez contre sa nuque ,sentant alors pour le découvrir sa douce odeur ....

"Je....peux dormir avec vous...?"

Kabu :

Je ne suis pas du genre a dire merci mais bon...

" Hum..."

Je le regarda puis je souffla.

" Tu crois quand même pas que je vais dormir ailleurs que mon lit ? Maintenant dors ! "

Je me suis coucher a coter laissant quelque centimètre d'écart entre nous.

".... Vous.... Vous aimez bien, les plats orientaux....? Je sais en faire plein ! Demain, je pourrai vous en faire, haha...." 

Doucement, le petit garçon se mit à s'approcher de lui. Il n'aimait pas, cette solitude repoussante.... 

Et d'un coup, ses toutes petites mains d'enfants fragile, tremblant, et innocent, se mirent à toucher le visage inexpressif de l'homme. 

Il le touchait, du bouts de ses petits doigts tout rond.... 

Il avait une expression assez timide, mais des joues rouge de plaisir, et de petites larmes sortirent sous ses yeux fermés.... 

Il les ouvrit. Il ouvrit ses beaux et grands yeux qui pourtant, n'avaient pas de racines. Ils étaient d'un bleu océan, d'un bleu turquoise, d'un bleu clair d'une qualité exquise. Ils n'avaient pas ce point noir au milieux, qui lui permettait de voir. Et pourtant, il ressemblait à un e véritable créature éthéré. 

Il nettoya ses larmes. Et peut-être que l'homme avait enfin comprit, son dur passé et sa dur situation. Qu'il souffrait. Et que malheureusement, il souffrira toujours. 

"Je ne sais pas comment vous êtes.... Mais je vous imagine tellement.... Je ne sais pas comment je suis. On me dit souvent que je suis laid. Or, vous avez l'air si beau, comparé à mon médiocre corps que.... Haha.... Ça me donne envie de..... De.... De sûrement vous ressembler.... "

Doucement, de tous petits tremblements le fit agir. Il se mit en boule, et referma les yeux qui lui faisait mal à cause de la lumière. Ses yeux étaient si beaux.... Dommage, qu'il ne puisse pas les ouvrir.... 

Ayant vue cet enfant, il aurait peut-être comprit. Que rien ne valait qu'une simple petite empathie, qu'il fallait l'aimer.... Juste au moins une fois. 

Et voir cet homme grand, large de muscle, détenant attraits et visage  d'homme dur et combatif, face à un aussi petit garçon, aussi petit qu'un enfant lui même, un corps d'une minceur précise, et ayant pour attraits timide et tout simplement mignonne, accompagné d'une taille des plus petite.... 

C'en était que mignon, fragile. Comme un poussin face à la douce et chaude protection d'une main d' homme. 

Il resta en boule, face à lui, tremblant. C'était maintenant son fiancé. Et pourtant... Il voulait bien, l'aimer, et la dernière chose qu'il lui dit.... 

"C'est pas juste.... C'est pas juste..... Pourquoi....? Pourquoi personne ne m'apprecie....? Pourquoi vous ne m'aimez pas....? Qu'ai-je fais de si mal.....? "